Nouvelle bande annonce VO pour Wolf Man de Leigh Whannell
RDV dans les salles obscures pour le 15 janvier prochain.
Si La Momie a sévèrement mis du plomb dans l'aile du Dark Universe voulu par Universal, au point même qu'il était pas loin d'être enterré pour de bon dans son cercueil en colza, le succès conséquent du solide The Invisible Man de Leigh Whannell, qui avait pour lui le bon ton de renouveler le mythe de l'homme invisible à un coût on ne peut plus raisonnable (122 millions de dollars de recettes au B.O. mondial, pour seulement 7 millions d'investissement), a sensiblement changer la donne.
Tellement que la major, associée avec Blumhouse, semblait de plus en plus motivé à l'idée de tout rebâtir au-delà du carcan des blockbusters coûteux, et de privilégier des projets plus mineurs (et donc foncièrement moins risqués d'un point de vue financier) voire même totalement uniques et indépendants, portés par une vraie intention de remodeler les monstres iconiques du catalogue de la firme, sans pour autant dénaturer leur aura.
Et depuis trois ans maintenant, non sans quelques remous, c'est le projet Wolf Man qui sera la prochaine relecture sur les rails, non plus avec Ryan Gosling en tête d'affiche, mais bien l'excellent Christopher Abbott, accompagnée de la non moins talentueuse Julia Garner.
Et si Cory Finley (le récent Bad Education pour HBO), était le nom le plus entendu dans les bruits de couloirs, puis celui de Derek Cianfrance, c'est in fine bien Leigh Whannell, un temps juste producteur, qui s'occupe du bébé.
Si La Momie a sévèrement mis du plomb dans l'aile du Dark Universe voulu par Universal, au point même qu'il était pas loin d'être enterré pour de bon dans son cercueil en colza, le succès conséquent du solide The Invisible Man de Leigh Whannell, qui avait pour lui le bon ton de renouveler le mythe de l'homme invisible à un coût on ne peut plus raisonnable (122 millions de dollars de recettes au B.O. mondial, pour seulement 7 millions d'investissement), a sensiblement changer la donne.
Tellement que la major, associée avec Blumhouse, semblait de plus en plus motivé à l'idée de tout rebâtir au-delà du carcan des blockbusters coûteux, et de privilégier des projets plus mineurs (et donc foncièrement moins risqués d'un point de vue financier) voire même totalement uniques et indépendants, portés par une vraie intention de remodeler les monstres iconiques du catalogue de la firme, sans pour autant dénaturer leur aura.
Et depuis trois ans maintenant, non sans quelques remous, c'est le projet Wolf Man qui sera la prochaine relecture sur les rails, non plus avec Ryan Gosling en tête d'affiche, mais bien l'excellent Christopher Abbott, accompagnée de la non moins talentueuse Julia Garner.
Et si Cory Finley (le récent Bad Education pour HBO), était le nom le plus entendu dans les bruits de couloirs, puis celui de Derek Cianfrance, c'est in fine bien Leigh Whannell, un temps juste producteur, qui s'occupe du bébé.
Côté contenu, le film ne se base plus sur le propre pitch de Gosling, développé par les scénaristes Lauren Schuker Blum et Rebeca Angelo (scénaristes sur Dumb Money et Orange is the New Black), dont peu de détails avaient fuités, excepté que le récit était ancré dans notre époque, avec un ton proche du Night Call - en plus surnaturel - de Tony Gilroy avec Jake Gyllenhaal; mais bien sur une refonte totale du film de 1941 (avec Whannell, Schuker Blum, Angelo et Corbett Tuck), qui verra un homme dont la famille est terrorisée par un prédateur mortel.
On a vraiment envie de dire pourquoi pas.
Pour rappel, le film est attendu dans les salles obscures pour le 15 janvier prochain.