Affiche US pour The Surfer de Lorcan Finnegan
Manque plus qu'une sortie en salles donc, puisque The Jokers Films le garde au chaud depuis la dernière Croisette...
Dans nos quelques séances au dernier PIFFF, on avait franchement adoré The Surfer (notre critique ici) d'un Lorcan Finnegan qui n'avait pas encore su confirmer la belle impression que nous avait laissé son excellent Vivarium.
" Un homme revient sur la plage de son enfance pour y surfer avec son fils, mais un gang local les menace. "
Cauchemar sauce huis clos à ciel ouvert gentiment amer et pervers sur la monomanie pathologique d'un homme déconstruit de manière à la fois ironique et étrange par le conformisme, le film est un pur midnight movie malin et divertissant sur la mémoire refoulée, le sens moralement biaisé de l'identité locale australienne (que l'on peut plaquer à peu près partout) et les vérités néfastes - et particulièrement violente - de la masculinité toxique et de l'hypermasculinité.
Le tout porté par un Nicolas Cage des grands jours.
Autant dire que l'on vous invite chaudement à découvrir le bébé, en espérant qu'ils atteignent les salles par chez nous, et non directement le placard aux VOD perdus...
Dans nos quelques séances au dernier PIFFF, on avait franchement adoré The Surfer (notre critique ici) d'un Lorcan Finnegan qui n'avait pas encore su confirmer la belle impression que nous avait laissé son excellent Vivarium.
" Un homme revient sur la plage de son enfance pour y surfer avec son fils, mais un gang local les menace. "
Cauchemar sauce huis clos à ciel ouvert gentiment amer et pervers sur la monomanie pathologique d'un homme déconstruit de manière à la fois ironique et étrange par le conformisme, le film est un pur midnight movie malin et divertissant sur la mémoire refoulée, le sens moralement biaisé de l'identité locale australienne (que l'on peut plaquer à peu près partout) et les vérités néfastes - et particulièrement violente - de la masculinité toxique et de l'hypermasculinité.
Le tout porté par un Nicolas Cage des grands jours.
Autant dire que l'on vous invite chaudement à découvrir le bébé, en espérant qu'ils atteignent les salles par chez nous, et non directement le placard aux VOD perdus...