Premières images officielles pour Baise-en-ville de et avec Martin Jauvat
Deux ans après la sortie de l'excellent Grand Paris, Martin Jauvat passe la seconde avec un projet tout aussi chouette sur le papier, intitulé Baise-en-ville.
On avait été de ceux à avoir découvert un peu sur le tard, le chouette cinéma de Martin Jauvat non pas avec ses courts-métrages (tout aussi chouette), mais bien avec son premier long-métrage, Grand Paris, petit bout de cinéma qui, entre le buddy movie, le road movie urbain et le stoner mobie, détonnait dans sa volonté d'incarner une vraie petite bouffée d'air frais surprenante et généreuse au coeur d'une comédie hexagonale ne laissant que trop peu parler sa douce folie et son imprévisibilité.
Bonne nouvelle, deux ans plus tard, le bonhomme a remis le couvert avec son second effort, Baise-en-ville, pour lequel il a également écrit le scénario et se mettra en scène aux côtés des habitués de son cinéma, les excellents William Lebghil, Sébastien Chassagne, Anaïde Rozam et Mahamadou Sangaré, aux côtés de petits nouveaux tels que Emmanuelle Bercot, Annabelle Lengronne, Géraldine Pailhas, Jérôme Niel et Mahaut Adam.
" Sprite, 25 ans, doit absolument trouver un job. Mais pour travailler , il faut le permis et pour se payer le permis, il faut un emploi... Finalement, il se fait engager par une start-up spécialisée dans le nettoyage d’appartements après des fêtes ; mais comment aller travailler tard la nuit sans moyen de transport dans une banlieue mal desservie ? Sur les conseils de sa monitrice d’auto-école , il s’inscrit alors sur une application pour séduire des jeunes femmes habitant près de ses lieux de travail. Un seul problème : Sprite n'est pas vraiment un séducteur... "
Le pitch ne semble pas si éloigné de son court-métrage Le sang de la veine.
Produit par Ecce Films et distribué par Le Pacte, le film vient de s'offrir ses premières images officielles, alors que le film est attendu sur la Croisette d'ici mai prochain, dans la section Semaine de la Critique.
Bref... qui a dit hype ?
On avait été de ceux à avoir découvert un peu sur le tard, le chouette cinéma de Martin Jauvat non pas avec ses courts-métrages (tout aussi chouette), mais bien avec son premier long-métrage, Grand Paris, petit bout de cinéma qui, entre le buddy movie, le road movie urbain et le stoner mobie, détonnait dans sa volonté d'incarner une vraie petite bouffée d'air frais surprenante et généreuse au coeur d'une comédie hexagonale ne laissant que trop peu parler sa douce folie et son imprévisibilité.
Bonne nouvelle, deux ans plus tard, le bonhomme a remis le couvert avec son second effort, Baise-en-ville, pour lequel il a également écrit le scénario et se mettra en scène aux côtés des habitués de son cinéma, les excellents William Lebghil, Sébastien Chassagne, Anaïde Rozam et Mahamadou Sangaré, aux côtés de petits nouveaux tels que Emmanuelle Bercot, Annabelle Lengronne, Géraldine Pailhas, Jérôme Niel et Mahaut Adam.
" Sprite, 25 ans, doit absolument trouver un job. Mais pour travailler , il faut le permis et pour se payer le permis, il faut un emploi... Finalement, il se fait engager par une start-up spécialisée dans le nettoyage d’appartements après des fêtes ; mais comment aller travailler tard la nuit sans moyen de transport dans une banlieue mal desservie ? Sur les conseils de sa monitrice d’auto-école , il s’inscrit alors sur une application pour séduire des jeunes femmes habitant près de ses lieux de travail. Un seul problème : Sprite n'est pas vraiment un séducteur... "
Le pitch ne semble pas si éloigné de son court-métrage Le sang de la veine.
Produit par Ecce Films et distribué par Le Pacte, le film vient de s'offrir ses premières images officielles, alors que le film est attendu sur la Croisette d'ici mai prochain, dans la section Semaine de la Critique.
Bref... qui a dit hype ?