Box-office US du week-end du 07/03/2025 : Mickey Barnes plus fort que Sam Wilson !
Après trois semaines en tête, Sam Wilson/Cap America (8,5M$/176,5M$) laisse déjà sa place à Mickey 17 et 18 (19,1M$), alors que Last Breath s'accroche toujours au podium en seconde semaine (4,2M$/12,6M$).
Seule grosse nouveauté de la semaine, Mickey 17 d'un Bong Joon-ho plutôt inspiré, divise sensiblement spectateur et critique, au point de s'offrir une petite arrivée en tête du box-office sur ses terres.
Encore dans le top 10, Mufasa : Le Roi Lion de Barry Jenkins, qui ne pète pas vraiment les records à la différence de son ainé - qui avait franchit sans forcer le milliard de recettes -, s'offre néanmoins une belle carrière, lui qui grimpe jusqu'aux portes des 250M$ à la maison (250,4M$ sur 1460 salles), et au-delà des 700M$ au globale - 709,3M$ - après douze semaines donc, de quoi sabrer le champagne tout de même pour un film dont le budget plafonne à 200M$, hors campagne promotionnelle, et un seuil de rentabilité établi à 400M$ minimum.
Une ultime bonne affaire quand-même pour Disney, dans les comptes 2024.
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Seule grosse nouveauté de la semaine, Mickey 17 d'un Bong Joon-ho plutôt inspiré, divise sensiblement spectateur et critique, au point de s'offrir une petite arrivée en tête du box-office sur ses terres.
Avec un ratio de 19,1M$ sur 3807 salles (53,5M$ au global), et un budget estimé à 118M$ - hors campagne promotionnelle -, et donc une rentabilité prévue aux alentours des 236-240M$, le film démarre un peu trop tranquillement pour son bien.
Pas une bonne nouvelle pour une Warner qui, jusqu'ici, n'avait pas fait d'erreurs en 2025...
In The Lost Lands de Paul W.S. Anderson lui, démarre petit et n'accroche même pas le Top 10 : 1M$ sur 1370 salles.
Il détrône cependant Captain America : Brave New World qui, pas forcément aidé par des critiques sensiblement négatives (et à raison), prend une sacrée claque depuis sa seconde semaine d'exploitation.
Avec une influence chutant un poil moins que la semaine précédente, le film atteint péniblement les 176,5M$ après quatre semaines (sur 3480 salles), et moins de 400M$ au global - 370,7M$.
Ce qui serait une bonne affaire pour le moment, puisque l'on parle d'un budget à hauteur de 180M$ (hors campagne promotionnelle) selon quelques rapports officiels, mais vu ses nombreux reshoots et sa production incroyablement chaotique, on aurait tendance a bien plus croire ses chiffres officieux bien plus onéreux - la rumeur annonce un budget allant au-delà des 350M$.
Et dans ce cas-là, c'est une catastrophe...
Mais si Sam Wilson fait pâle figure, Paddington lui ne s'en sort pas forcément mieux et perd toute sa marmelade en traversant l'Atlantique.
Avec 36,9M$ en terres US sur la même période et sur 3085 salles, mais déjà fier d'un petit succès au globale - 175,7M$ pour un budget estimé à 90M$ -, Paddington au Pérou devrait tout de même rentrer dans ses frais (il lui faut atteindre, au moins 180M$ de recettes), alors qu'un quatrième film serait déjà dans les tuyaux du côté de chez StudioCanal.
Avec 36,9M$ en terres US sur la même période et sur 3085 salles, mais déjà fier d'un petit succès au globale - 175,7M$ pour un budget estimé à 90M$ -, Paddington au Pérou devrait tout de même rentrer dans ses frais (il lui faut atteindre, au moins 180M$ de recettes), alors qu'un quatrième film serait déjà dans les tuyaux du côté de chez StudioCanal.
Toujours sur le podium, le drame sauce survival Last Breath, porté par le tandem Woody Harrelson/Simu Liu, trace modestement sa route après deux semaines (7,8M$ sur 3018 salles), là où The Monkey signé par un Osgood Perkins plus inspiré que pour son Longlegs, s'offre une solide carrière, tellement qu'il n'a pas traîné pour être rentable sur sa propre terre.
Avec 31M$ de recettes maison - 45,7M$ au global - sur 2955 salles après trois semaines d'exploitation, et un budget oscillant entre 10 et 11M$, Neon s'est donc offert un nouveau petit hit.
Attendu dans les salles obscures hexagonales pour le 9 avril prochain, Dog Man de Peter Hastings (rien à voir avec le film de Besson), premier sur ses deux premières semaines d'exploitation, garde sa place dans le Top 10 et conserve un joli ratio en comparaison de son budget riquiqui - 40M$, hors campagne promotionnelle, lui qui récolte même un bon petit pactole : 88,7M$ sur 2753 salles après cinq semaines.
Fraîchement auréolé de l'oscar du Meilleur Film - mais pas que - Anora de Sean Baker revient en salles et 1,8M$ ce week-end (sur 1938 salles, Neon à Los les petits plats dans les grands), faisant grimper son ratio à 18,4M$ sur vingt-et-une semaine.
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Encore dans le top 10, Mufasa : Le Roi Lion de Barry Jenkins, qui ne pète pas vraiment les records à la différence de son ainé - qui avait franchit sans forcer le milliard de recettes -, s'offre néanmoins une belle carrière, lui qui grimpe jusqu'aux portes des 250M$ à la maison (250,4M$ sur 1460 salles), et au-delà des 700M$ au globale - 709,3M$ - après douze semaines donc, de quoi sabrer le champagne tout de même pour un film dont le budget plafonne à 200M$, hors campagne promotionnelle, et un seuil de rentabilité établi à 400M$ minimum.
Une ultime bonne affaire quand-même pour Disney, dans les comptes 2024.
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1. Mickey 17 (1) $19,100,000/$19,100,000 (total USA)
2. Captain America : Brave New World (4) $8,500,000/$176,584,423 (total USA)
3. Last Breath (2) $4,200,115/$14,657,000 (total USA)
4. The Monkey (3) $3,900,000/$31,003,297 (total USA)
5. Paddington au Pérou (4) $3,850,000/$36,959,142 (total USA)
6. Dog Man (6) $3,500,000/$88,763,445 (total USA)
7. Anora (21) $1,860,000/$18,448,400 (total USA)
8. Mufasa : Le Roi Lion (12) $1,700,000/$250,487,739 (total USA)
9. Rule Breakers (1) $1,593,401/$1,593,401 (total USA)
10. Night of The Zoopocalypse (1) $1,060,000/$1,060,000 (total USA)