Christopher Abbott en vedette de Wolf Man signé Leigh Whannell ?
Universal passe la seconde et enclenche la production de cette nouvelle relecture d'un membre phare de son bestiaire, avec un Leigh Whannell derrière la caméra et Christopher Abbott devant, en remplacement de Ryan Gosling...
Si La Momie a sévèrement mis du plomb dans l'aile du Dark Universe voulu par Universal, au point même qu'il était pas loin d'être enterré pour de bon dans son cercueil en colza, le succès conséquent du solide The Invisible Man de Leigh Whannell l'an dernier, qui avait pour lui le bon ton de renouveler le mythe de l'homme invisible à un coût on ne peut plus raisonnable (122 millions de dollars de recettes au B.O. mondial, pour seulement 7 millions d'investissement), à sensiblement changer la donne.
Tellement que la major, associée avec Blumhouse, semblait de plus en plus motivé à l'idée de tout rebâtir au-delà du carcan des blockbusters coûteux, et de privilégier des projets plus mineurs (et donc foncièrement moins risqués d'un point de vue financier) voire même totalement uniques et indépendants, portés par une vraie intention de remodeler les monstres iconiques du catalogue de la firme, sans pour autant dénaturer leur aura.
Et depuis trois ans maintenant, non sans quelques remous, c'est le projet Wolfman qui devrait être la prochaine relecture sur les rails, non plus avec Ryan Gosling en tête d'affiche, mais bien l'excellent Christopher Abbott si l'on en suit le Hollywood Reporter aujourd'hui.
Et si Cory Finley (le récent Bad Education pour HBO), était le nom le plus entendu dans les bruits de couloirs, puis celui de Derek Cianfrance, c'est in fine bien Leigh Whannell, un temps juste producteur, qui s'occupera du bébé.
Si La Momie a sévèrement mis du plomb dans l'aile du Dark Universe voulu par Universal, au point même qu'il était pas loin d'être enterré pour de bon dans son cercueil en colza, le succès conséquent du solide The Invisible Man de Leigh Whannell l'an dernier, qui avait pour lui le bon ton de renouveler le mythe de l'homme invisible à un coût on ne peut plus raisonnable (122 millions de dollars de recettes au B.O. mondial, pour seulement 7 millions d'investissement), à sensiblement changer la donne.
Tellement que la major, associée avec Blumhouse, semblait de plus en plus motivé à l'idée de tout rebâtir au-delà du carcan des blockbusters coûteux, et de privilégier des projets plus mineurs (et donc foncièrement moins risqués d'un point de vue financier) voire même totalement uniques et indépendants, portés par une vraie intention de remodeler les monstres iconiques du catalogue de la firme, sans pour autant dénaturer leur aura.
Et depuis trois ans maintenant, non sans quelques remous, c'est le projet Wolfman qui devrait être la prochaine relecture sur les rails, non plus avec Ryan Gosling en tête d'affiche, mais bien l'excellent Christopher Abbott si l'on en suit le Hollywood Reporter aujourd'hui.
Et si Cory Finley (le récent Bad Education pour HBO), était le nom le plus entendu dans les bruits de couloirs, puis celui de Derek Cianfrance, c'est in fine bien Leigh Whannell, un temps juste producteur, qui s'occupera du bébé.
La date de sortie est toujours fixée au 25 octobre 2024 outre-Atlantique.
Plus étonnant, le film ne devrait plus se baser bien sur le propre pitch de Gosling, développé par les scénaristes Lauren Schuker Blum et Rebeca Angelo (scénaristes sur Dumb Money et Orange is the New Black), dont peu de détails avaient fuités, excepté que le récit était ancré dans notre époque, avec un ton proche du Night Call - en plus surnaturel - de Tony Gilroy avec Jake Gyllenhaal.
Le THR nous annonce que le scénario, tenu à quatre plumes - Whannell, Schuker Blum, Angelo et Corbett Tuck -, verra un homme dont la famille est terrorisée par un prédateur mortel.
Damn...
Plus étonnant, le film ne devrait plus se baser bien sur le propre pitch de Gosling, développé par les scénaristes Lauren Schuker Blum et Rebeca Angelo (scénaristes sur Dumb Money et Orange is the New Black), dont peu de détails avaient fuités, excepté que le récit était ancré dans notre époque, avec un ton proche du Night Call - en plus surnaturel - de Tony Gilroy avec Jake Gyllenhaal.
Le THR nous annonce que le scénario, tenu à quatre plumes - Whannell, Schuker Blum, Angelo et Corbett Tuck -, verra un homme dont la famille est terrorisée par un prédateur mortel.
Damn...