Affiche FR pour Violent Night de Tommy Wirkola
David Harbour en papa noël vénère qui savate des mercenaires... on signe où ???
Même si sa verve humoristico-dark a disparue aussi vite qu'elle est apparue (ses deux premiers longs, les régressifs Kill Buljo : Ze Film et Dead Snow), le norvégien barré Tommy Wirkola à une place non-négligeable au coeur de la réponse nordique de la fin des années 2000, aux péloches décomplexés made in US.
A Somewhat Gentle Man, Headhunters ou encore Jackpot avaient une approche similaire aux films de Tarantino ou même ceux de Ritchie, une vision étonnamment libérale du langage et de la violence, au sein d'une narration ironique qui embrassant fougueusement ses parts d'ombres.
Ressortie lessivée de sa carrière Hollywoodienne, il nous était revenu l'an dernier avec l'excellent The Trip, relecture cynique et macabre du déjà corsé La Guerre des Roses, posant sa caméra sur un mariage dysfonctionnel et à l'agonie, incarné avec entrain par le couple Hennie/Rapace - même si le tout était enrobé d'un mauvais goût certes assumé mais parfois gênant.
À voir désormais s'il confirmera l'essai, lui qui traverse à nouveau l'Atlantique avec son nouvel effort plutôt gratiné sur le papier : Violent Night, pour lequel il fait du génial David Harbour, rien de moins que... le Père Noël !
Une comédie noire matinée d'action pour laquelle le Père Noël va jouer les John McClane en tentant de sauver une riche famille dont la maison vient d'être attaquée par une troupe de mercenaires d'élite.
Avec également Cam Gigandet, Beverly D'Angelo et John Leguizamo, le film est attendu dans les salles obscures pour le 30 novembre prochain.
Qui a dit hype ?
Même si sa verve humoristico-dark a disparue aussi vite qu'elle est apparue (ses deux premiers longs, les régressifs Kill Buljo : Ze Film et Dead Snow), le norvégien barré Tommy Wirkola à une place non-négligeable au coeur de la réponse nordique de la fin des années 2000, aux péloches décomplexés made in US.
A Somewhat Gentle Man, Headhunters ou encore Jackpot avaient une approche similaire aux films de Tarantino ou même ceux de Ritchie, une vision étonnamment libérale du langage et de la violence, au sein d'une narration ironique qui embrassant fougueusement ses parts d'ombres.
Ressortie lessivée de sa carrière Hollywoodienne, il nous était revenu l'an dernier avec l'excellent The Trip, relecture cynique et macabre du déjà corsé La Guerre des Roses, posant sa caméra sur un mariage dysfonctionnel et à l'agonie, incarné avec entrain par le couple Hennie/Rapace - même si le tout était enrobé d'un mauvais goût certes assumé mais parfois gênant.
À voir désormais s'il confirmera l'essai, lui qui traverse à nouveau l'Atlantique avec son nouvel effort plutôt gratiné sur le papier : Violent Night, pour lequel il fait du génial David Harbour, rien de moins que... le Père Noël !
Une comédie noire matinée d'action pour laquelle le Père Noël va jouer les John McClane en tentant de sauver une riche famille dont la maison vient d'être attaquée par une troupe de mercenaires d'élite.
Avec également Cam Gigandet, Beverly D'Angelo et John Leguizamo, le film est attendu dans les salles obscures pour le 30 novembre prochain.
Qui a dit hype ?