Box-office US du week-end du 27/08/2022 : Le Bal de l'Enfer prend fébrilement les commandes du B.O.
Dans le week-end à la fréquentation la plus faible depuis un bon moment, Le Bal de l'Enfer prend fébrilement les commandes (7M$) devant un Bullet Train qui s'approche lentement des 100M$ sur ses terres (5,6M$/78,2M$) et un Beast qui sauve les meubles (4,9M$/20M$).
Petit départ pour Trois mille ans à t'attendre (2,8M$ sur 2400 salles).
De loin la pire nouveauté de la semaine (oui, pire encore que la ressortie opportuniste de Rogue One : A Star Wars Story de Gareth Edwards, qui glane quand-même 1,1M$ grâce à ceux voulant se faire une récap en salles, avant l'arrivée de la série Andor dans le catalogue Disney Plus, où est déjà présent le film...), Le Bal de l'enfer de Jessica M. Thompson arrive quand-même à se hisser en tête du pire week-end niveau recettes, depuis mai 2021.
Avec (7M$), il fait mieux que le dernier - et génial - George Miller, Trois mille ans à t'attendre et sa bonne grille de salles (2,8M$ sur 2400 salles), où encore le thriller Breaking avec John Boyega (1M$ sur 900 salles).
Petit départ pour Trois mille ans à t'attendre (2,8M$ sur 2400 salles).
De loin la pire nouveauté de la semaine (oui, pire encore que la ressortie opportuniste de Rogue One : A Star Wars Story de Gareth Edwards, qui glane quand-même 1,1M$ grâce à ceux voulant se faire une récap en salles, avant l'arrivée de la série Andor dans le catalogue Disney Plus, où est déjà présent le film...), Le Bal de l'enfer de Jessica M. Thompson arrive quand-même à se hisser en tête du pire week-end niveau recettes, depuis mai 2021.
Avec (7M$), il fait mieux que le dernier - et génial - George Miller, Trois mille ans à t'attendre et sa bonne grille de salles (2,8M$ sur 2400 salles), où encore le thriller Breaking avec John Boyega (1M$ sur 900 salles).
Le tâcheron Dragon Ball : Evolution n'a pas écorné l'aura de DBZ outre-Atlantique puisque que ce soit Dragon Ball Super : Broly en 2019 où Dragon Ball Super : Super Hero cette année, les deux films dépassent gentiment les 30M$ sur le sol US, à ceci près que Super Hero le fait en à peine dix jours (30,7M$).
Suffisant pour damner le pion au survival Beast avec un Idris Elba pourtant en forme (20M$ sur la même période), malgré une grosse grille de salles - 3513 pour être précis.
Esther 2 : Les Origines démarre tout aussi timidement (3,3M$), mais presque sept fois moins de salles - 557 salles.
Suffisant pour damner le pion au survival Beast avec un Idris Elba pourtant en forme (20M$ sur la même période), malgré une grosse grille de salles - 3513 pour être précis.
Esther 2 : Les Origines démarre tout aussi timidement (3,3M$), mais presque sept fois moins de salles - 557 salles.
Difficile de dire pour le moment s'il aura suffisamment de puissance pour être rentable sur ses propres terres - 90M$ hors campagne promotionnelle -, mais le nouvel actionner de David Leitch, Bullet Train, démarre pas trop mal puisqu'il garde une nouvelle fois sa place sur le podium ce week-end avec 78,2M$ sur après quatre semaines (173,6M$ à l'international), un peu light à la vue de son casting maousse costaud.
Sortie dans sa foulée : Bodies Bodies Bodies (9,7M$, mais il a démarré avec 5 salles seulement) et Fall, (5,9M$ sur 800 salles), s'en sortent pas trop mal.
Au coeur d'un été privé de films DC, Krypto et les super-animaux est le seul rappel ou presque - même si le film n'est absolument pas canon - que le Worlds of DC existe un minimum face à un MCU qui ne cesse de glaner du billet vert ses dernières semaines.
Après cinq semaines, le film reste toujours accroché au Top 10 (74M$), sans forcément briller.
Après cinq semaines, le film reste toujours accroché au Top 10 (74M$), sans forcément briller.
Si son arrivée est inférieure à celle de Us en avril 2019 - 71M$ - (mais meilleure que celle de Get Out, qui plafonnait à 33,4M$), Nope, troisième effort de Jordan Peele, s'offre néanmoins le meilleur démarrage pour un film original depuis... Us.
Avec 117,6M$ sur ses six premières semaines, le film peut se targuer d'être l'un des gros succès d'une Universal qui les a compté à la pelle cet été.
Avec 117,6M$ sur ses six premières semaines, le film peut se targuer d'être l'un des gros succès d'une Universal qui les a compté à la pelle cet été.
Symbole d'un MCU qui décline férocement, Thor : Love and Thunder devait être l'un - si ce n'est LE - plus gros succès de l'été, mais restera un succès moyen, même si celui-ci s'est payé le meilleur démarrage de sa propre franchise, avec pas moins de 336,5M$ sur ses terres après sept semaines, et 746,6M$ à l'international sur la même période.
Il fait donc mieux que Thor : Ragnarok mais bien moins que Doctor Strange in The Multivers of Madness - 954,8M$.
Suffisant cela dit pour rester à l'aise dans le top 10, comme Là où chantent les écrevisses qui se paye un meilleur ratio que prévu (81,8M$ sur sept semaines), où encore Les Minions 2, qui se paye une carrière en salles certes inférieure à son aîné sortie en juillet 2015, mais tout de même costaud pour cet été ciné.
Avec 354,7M$ sur ses neuf semaines et 868,8M$ à l'international sur la même période (et avec une sortie en Chine enfin bookée), le milliard glané par le premier film n'est peut-être pas si loin en fin de parcours.
C'était écrit où presque, mais personne n'aurait pensé que Top Gun : Maverick soit 1) aussi divertissant et 2) une suite réussie à une heure où Hollywood dégaine sans trembler une franchisation à outrance souvent détestable.
Avec 691,2M$ après quatorze semaines, et pas moins de 1,422 milliard de $ à l'international, le film se paye à la fois le meilleur démarrage de la carrière de Tom Cruise, le plus gros succès de la Paramount sur ses terres, le sixième plus gros succès de l'histoire en terres US mais aussi et surtout il signe le meilleur démarrage pour un week-end du Memorial Day depuis... 1999.
Avec 691,2M$ après quatorze semaines, et pas moins de 1,422 milliard de $ à l'international, le film se paye à la fois le meilleur démarrage de la carrière de Tom Cruise, le plus gros succès de la Paramount sur ses terres, le sixième plus gros succès de l'histoire en terres US mais aussi et surtout il signe le meilleur démarrage pour un week-end du Memorial Day depuis... 1999.
Arrivant à décevoir malgré les maigres attentes à son sujet, Jurassic World : Le monde d'après arrive néanmoins à séduire le public où - au moins - à le ramener en salles, puisqu'il caracole toujours en tête ce week-end avec un joli ratio sur ses terres (374,7M$ sur douze semaines), mais aussi à l'international (990,4M$ sur la même période).
1. Le Bal de l'Enfer (1) $7,000,000/$7,000,000 (total USA)
2. Bullet Train (4) $5,600,407/$78,207,000 (total USA)
3. Beast (2) $4,900,015/$20,091,000 (total USA)
4. Top Gun : Maverick (14) $4,750,143/$691,213,000 (total USA)
5. Dragon Ball Super : Super Hero (2) $4,565,668/$30,761,982 (total USA)
6. Krypto et les super-animaux (5) $4,225,191/$74,089,000 (total USA)
7. Trois mille ans à t'attendre (1) $2,876,000/$2,876,000 (total USA)
8. Les Minions 2 : Il était une fois Gru (9) $2,740,365/$354,781,000 (total USA)
9. Thor : Love and Thunder (8) $2,700,000/$336,570,158 (total USA)
10. Là où chantent les écrevisses (6) $2,324,652/$81,888,000 (total USA)
2. Bullet Train (4) $5,600,407/$78,207,000 (total USA)
3. Beast (2) $4,900,015/$20,091,000 (total USA)
4. Top Gun : Maverick (14) $4,750,143/$691,213,000 (total USA)
5. Dragon Ball Super : Super Hero (2) $4,565,668/$30,761,982 (total USA)
6. Krypto et les super-animaux (5) $4,225,191/$74,089,000 (total USA)
7. Trois mille ans à t'attendre (1) $2,876,000/$2,876,000 (total USA)
8. Les Minions 2 : Il était une fois Gru (9) $2,740,365/$354,781,000 (total USA)
9. Thor : Love and Thunder (8) $2,700,000/$336,570,158 (total USA)
10. Là où chantent les écrevisses (6) $2,324,652/$81,888,000 (total USA)