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Box-office US du week-end du 29/07/2022 : Krypto et les super-animaux prend les commandes du B.O.

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Krypto et les super-animaux prend les commandes d'une courte tête (23M$) devant un Nope toujours en forme et déjà aux portes des 100M$ sur ses terres (18,5M$/80,5M$), et un Thor : Love and Thunder qui dépasse les 300M$ à la maison (13M$/301,5M$).
Top Gun : Maverick atteint les 650M$ au B.O. US (8,2M$/650,1M$).


Au coeur d'un été privé de films DC, Krypto et les super-animaux est le seul rappel ou presque - même si le film n'est absolument pas canon - que le Worlds of DC existe un minimum face à un MCU qui ne cesse de glaner du billet vert ses dernières semaines.
Avec un petit premier week-end - 23M$ -, le film prend néanmoins les commandes du B.O., loin devant les autres " grosses " nouveautés de la semaine, Vengeance (1,3M$ sur 998 salles) et Resurrection (92 700$ sur 97 salles).

Si son arrivée est inférieure à celle de Us en avril 2019 - 71M$ - (mais meilleure que celle de Get Out, qui plafonnait à 33,4M$), Nope, troisième effort de Jordan Peele, s'offre néanmoins le meilleur démarrage pour un film original depuis... Us.
Avec 80,5M$ sur ses dix premiers jours, le film prend tranquillement les commandes du B.O. en attendant l'arrivée la semaine prochaine, de Krypto et les super-animaux.

Symbole d'un MCU qui décline férocement, Thor : Love and Thunder devrait pourtant être l'un - si ce n'est LE - plus gros succès de l'été, lui qui se paye déjà le meilleur démarrage de sa propre franchise, avec pas moins de 301,5M$ sur ses terres pour après quatre semaines, et 662,4M$ à l'international sur la même période, ce qui pourrait lui assurer un meilleur ratio final que Doctor Strange in The Multivers of Madness.

Suffisant pour rester devant toute la concurrence récente, comme Là où chantent les écrevisses qui se paye un meilleur ratio que prévu (53,5M$ sur trois semaines), l'animé Samouraï Academy qui démarre petit malgré un bel arc de salles (16,8M$ sur la même période), et Mrs. Harris Goes to Paris, qui glane 6,7M$ sur 900 salles tout rond, soit quatre fois moins que la concurrence.
 
Sacré performance aussi pour Les Minions 2, qui se paye une carrière en salles certes inférieure à son aîné sortie en juillet 2015, mais tout de même costaud pour cet été ciné.
Avec 320,4M$ sur ses cinq semaines et 710,3M$ à l'international sur la même période, le milliard glané par le premier film 
est peut-être loin en fin de parcours, mais Universal enchaîne clairement les gros succès sur cet été.

C'était écrit où presque, mais personne n'aurait pensé que Top Gun : Maverick soit 1) aussi divertissant et 2) une suite réussie à une heure où Hollywood dégaine sans trembler une franchisation à outrance souvent détestable.
Avec 650,1M$ après dix semaines, et pas moins de 1,321 milliard de $ à l'international, le film se paye à la fois le meilleur démarrage de la carrière de Tom Cruise, le plus gros succès de la Paramount sur ses terres mais aussi et surtout il signe le meilleur démarrage pour un week-end du Memorial Day depuis... 1999.

Toujours dépassé d'une poignée de dollars par la légende Maverick, Elvis de Baz Luhrmann s'en sort mieux que bien pour son cinquième week-end et reste accroché au Top 10 avec un honnête ratio de 129M$.
Pas de quoi faire péter le B.O. comme Bohemian Rhapsody, mais suffisant pour être rentable sur la durée, même avec un faible ratio à l'international - 234,3M$.
Sortie dans sa foulée, Black Phone de Scott Derrickson, porté par une solide hype, se paye une carrière bien au-dessus des espérances vu la concurrence - 83,1M$ sur ses terres, 141,1M$ à l'international.

Habituellement, dès qu'un film Pixar et même plus directement Disney, débarque en salles, c'est la première place assurée qui lui était allouée, même si le film n'était pas affûté pour être un hit.
Quelle déconvenue alors de 
voir Buzz l'Éclair d'Angus MacLane faire moins de recettes que prévue (on parlait de 70-75M$ il y a peu), mais surtout il ne parvient même pas à rester sur le podium avec un ratio pourtant pas si mauvais de 117,8M$ de recettes après sept semaines - 219,7M$ à l'international.
En gros, hors le Covid-19 qui a salement plombé le B.O. du sympathique En Avant, il est le Pixar le moins soutenu en salles depuis... Toy Story premier du nom.
Une petite claque pour Disney, et ce n'est pas tous les jours que cela arrive...

Arrivant à décevoir malgré les maigres attentes à son sujet, Jurassic World : Le monde d'après arrive néanmoins à séduire le public où - au moins - à le ramener en salles, puisqu'il caracole toujours en tête ce week-end avec un joli ratio sur ses terres (369,4M$ sur huit semaines), mais aussi à l'international (942,5
M$ sur la même période).


1. Krypto et les super-animaux (1) $23,000,000/$23,000,000 (total USA)
2. Nope (2) $18,549,575/$80,583,000 (total USA)
3. Thor : Love and Thunder (4) $13,075,000/$301,522,269 (total USA)

4. Les Minions 2 : Il était une fois Gru (5) $10,880,375/$320,411,000 (total USA)
5. Top Gun : Maverick (10) $8,200,300/$650,104,000 (total USA)
6. Là où chantent les écrevisses (3) $7,524,799/$53,526,000 (total USA)
7. Elvis (6) $5,830,000/$129,000,707 (total USA)

8. Black Phone (6) $2,499,755/$83,119,000 (total USA)
9. Jurassic World : Le monde d'après (8) $2,080,155/$369,493,000 (total USA)
10. Vengeance (1) $1,750,000/$1,750,000 (total USA)