Lucy Boynton au casting de Chevalier de Saint-Georges signé Stephen Williams ?

Courtesy of Sasha Marro

Où la mise en images de la vie de Joseph Bologne, le Chevalier de Saint-Georges, avec également Samara Weaving et Kelvin Harrison Jr au casting.


En l'espace d'une petite poignée d'années, Samara Weaving a réussi à faire son petit trou au sein de la jungle Hollywoodienne, et force est d'avouer qu'elle commence vraiment à enchaîner les projets alléchants.
En attendant de la retrouver dans ce qui pourrait être un solide blockbuster - Snake Eyes de Robert Schwentke - d'ici quelques jours, puis au sein du casting monstrueux du prochain film de Damien Chazelle - Babylon -, on l'a retrouvera très bientôt en vedette d'une nouvelle production intéressante.

En effet, elle sera le lead féminin aux côtés de Kelvin Harrison Jr., de Chevalier de Saint-Georges, un drame d'époque réalisé par Stephen Williams pour Searchlight Pictures.

Mieux ?

Le site Deadline annonce que Lucy Boynton sera elle aussi de l'aventure.

Sur un scénario original de Stefani Robinson (nommée aux Emmy Awards pour son travail sur les merveilleuses Atlanta et What We Do in the Shadows), le film se concentrera sur l'histoire vraie de Joseph Bologne - ou le Chevalier de Saint-Georges -, connu sous le nom de Black Mozart.

Né dans les Caraïbes, Bologne était le fils illégitime d'un propriétaire de plantation et d'une esclave, qui a ensuite fait ses études en France et est devenu maître d'armes, ce qui lui a servi de pass d'entrée dans la haute société française.
Premier homme noir à être compositeur de musique classique, avec ses créations et ses opéras, il gravit les échelons supérieurs de la société parisienne de Marie-Antoinette (Boynton) jusqu'à ce qu'un scandale judiciaire le fasse abattre.

Weaving campera elle Marie-Josephine, une femme qui aspire à connaître un vrai épanouissement créatif pour s'extirper de son mariage vide et sans amour, défiant même la volonté de son mari autoritaire, pour devenir la voix principale de l'opéra de Bologne.
Sur le papier, c'est un grand oui.