Noomi Rapace en vedette de Traction signé Lorraine Darrow, mais aussi de Deutschland 89 signé Michael Idov ?
Deux thrillers matinés d'action sinon rien, le premier aux côtés de Luke Evans, le second aux côtés de Teo " Past Lives " Yoo.
La merveilleuse et badass Noomi Rapace enchaîne les projets : tant mieux pour nous.
Plus tôt dans la semaine, on apprenait qu'elle briguerait l'un des rôles titres, aux cités de Rebecca Hall, Gael García Bernal et Beanie Feldstein, de l'alléchant The End of it, petit morceau de SF dystopique sous fond de fin de vie confrontée à l'éternité; ce soir, elle se serait attaché à pas moins de deux projets alléchants, deux thrillers matinés d'action, si l'on en suit respectivement les sites Variety et Hollywood Reporter.
Dans un premier temps, Traction de la scénariste et réalisatrice Lorraine Darrow, pour lequel elle retrouvera Luke Evans, et dont le tournage devrait débuter cet été en Espagne.
L'histoire suivra celle d'une ancienne soldate américaine, Kate (Rapace), menant une mission humanitaire en Tchétchénie, pays déchiré par la guerre.
Sa mission prend une tournure périlleuse au moment où elle est contrainte d'affronter un photographe de guerre américain cynique (Evans), tandis qu'elle doit échapper aux forces russes et aux guérilleros.
Dans un second temps, on la retrouvera également en vedette de Deutschland 89 signé par le romancier et cinéaste Michael Idov, thriller mi-action, mi-espionnage pour lequel elle partagera l'écran avec la révélation de Past Lives, Teo Yoo.
L'histoire du film aura pour cadre un sommet exclusif sur la cybersécurité, niché dans les Alpes suisses, et suivra l'agent de la CIA Stella Turner (Rapace) alors qu'elle tente de pour séduire pour mieux le recruter, l'énigmatique expert en technologie Daniel Sim (Yoo), dont le génie pourrait bien être la clé pour stopper une fuite catastrophique de secrets de défense américains.
Mais la situation dérape rapidement : Daniel n'est pas une cible ordinaire, c'est un maître manipulateur qui va donner du fil à retordre à Stella et lancer ce qui était un simple jeu de séduction, en vraie guerre psychologique.
Sur le papier, on dit vraiment pourquoi pas pour les deux.
La merveilleuse et badass Noomi Rapace enchaîne les projets : tant mieux pour nous.
Plus tôt dans la semaine, on apprenait qu'elle briguerait l'un des rôles titres, aux cités de Rebecca Hall, Gael García Bernal et Beanie Feldstein, de l'alléchant The End of it, petit morceau de SF dystopique sous fond de fin de vie confrontée à l'éternité; ce soir, elle se serait attaché à pas moins de deux projets alléchants, deux thrillers matinés d'action, si l'on en suit respectivement les sites Variety et Hollywood Reporter.
Dans un premier temps, Traction de la scénariste et réalisatrice Lorraine Darrow, pour lequel elle retrouvera Luke Evans, et dont le tournage devrait débuter cet été en Espagne.
L'histoire suivra celle d'une ancienne soldate américaine, Kate (Rapace), menant une mission humanitaire en Tchétchénie, pays déchiré par la guerre.
Sa mission prend une tournure périlleuse au moment où elle est contrainte d'affronter un photographe de guerre américain cynique (Evans), tandis qu'elle doit échapper aux forces russes et aux guérilleros.
Dans un second temps, on la retrouvera également en vedette de Deutschland 89 signé par le romancier et cinéaste Michael Idov, thriller mi-action, mi-espionnage pour lequel elle partagera l'écran avec la révélation de Past Lives, Teo Yoo.
L'histoire du film aura pour cadre un sommet exclusif sur la cybersécurité, niché dans les Alpes suisses, et suivra l'agent de la CIA Stella Turner (Rapace) alors qu'elle tente de pour séduire pour mieux le recruter, l'énigmatique expert en technologie Daniel Sim (Yoo), dont le génie pourrait bien être la clé pour stopper une fuite catastrophique de secrets de défense américains.
Mais la situation dérape rapidement : Daniel n'est pas une cible ordinaire, c'est un maître manipulateur qui va donner du fil à retordre à Stella et lancer ce qui était un simple jeu de séduction, en vraie guerre psychologique.
Sur le papier, on dit vraiment pourquoi pas pour les deux.