Nouveau spot TV pour Terminator Genisys signé Alan Taylor !
On jette ça comme ça hein, pour qui veut le mater...
En 2029, la guerre fait rage entre les machines robotisées de Skynet et la résistance des survivants humains, menée par John Connor.
Celui-ci est aidé dans sa tâche par son fidèle lieutenant, Kyle Reese, qui a grandit dans les ruines d'une Los Angeles post-apocalyptique.
Pour le destin de l'humanité, Connor va envoyer Reese dans le passé, en 1984, pour qu'il empêche la mort de sa mère, devenue la cible dans terrible terminator programmé pour la tuer.
Mais une fois son voyage arrivé à terme, celui-ci va découvrir que rien ne se déroulera comme il l'entendait, puisque Sarah Connor est déjà protégé par un T-800, programmé pour sa sécurité et qu'elle aurait connu à l'âge de neuf ans, à la mort de ses parents justement tués par une autre machine venue du futur...
Voilà le pitch de base de ce Terminator Genisys, promesse d'un retour à zéro - mais pas que - franchement déroutant de la franchise Terminator initié par l'inestimable James Cameron, un brin souillé depuis par Jonathan Mostow (Rise of the Machines) et McG (Terminator Renaissance), et qui se veut déjà comme le premier opus d'une nouvelle trilogie.
Ou un film qui serait, à l'instar de Retour vers le Futur 2, un opus croisant les univers des précédents films, pour en créer une nouvelle timeline.
On y retrouvera donc des personnages de Terminator 1 et 2, rejouant différemment des scènes déjà vues, voir même de toutes nouvelles, avec un nouveau casting tout neuf et des nouveaux cyborgs toujours plus puissants les uns des autres.
Soit Jai Courtney (Kyle Reese), Sarah Clarke (Sarah Connor), Jason Clarke (John Connor), Dayo Oyekini (le fils de Miles Dyson), J.K. Simmons (?), Matt Smith (en T-5000 laveur de cerveaux ?), Michael Gladis, Gillian Cole, Lee Byung-Hun (en nouveau T-1000 !) et Arnold Schwarzenegger.
Voilà, voilà.
Si vous voulez notre avis, ça sent méchamment mauvais tout ce délire de fumage en règle de la mythologie et les trailers ne s'emmerdant pas à balancer tous les sooilers possibles de l'intrigue, n'aide pas non plus à avoir la moindre confiance en ce projet.
Mais bon, même en sachant tout ça, il y a de grandes chances qu'en bons cinéphiles SM que nous sommes, nous seront dès le 1er juillet prochain en salles pour le mater.