Premier spot TV pour l'alléchant Warcraft : Le Commencement de Duncan Jones
Universal aura été fortement judicieuse de repousser la sortie Warcraft de décembre 2015 au 25 mai prochain, car si il avait été confronté au monstrueux Star Wars : Episode VII, on ne peut pas réellement dire que cette adaptation tant attendue du jeu vidéo culte en serait sortie grandit et encore moins un tant soit peu victorieuse.
Mais voilà, d'ici mai prochain le film à clairement le temps de préparer son arrivée dans les salles obscures et ce n'est pas plus mal puisqu'on en fait, logiquement, l'un des rendez-vous les plus immanquables de l'été des blockbusters 2016.
" Le pacifique royaume d'Azeroth est au bord de la guerre alors que sa civilisation doit faire face à une redoutable race d’envahisseurs: des guerriers Orcs fuyant leur monde moribond pour en coloniser un autre. Alors qu’un portail s’ouvre pour connecter les deux mondes, une armée fait face à la destruction et l'autre à l'extinction. De côtés opposés, deux héros vont s’affronter et décider du sort de leur famille, de leur peuple et de leur patrie. "
Côté casting, on retrouvera du côté de l’Alliance, Travis Fimmel en Anduin Lothar, Dominic Cooper dans la peau de King Llane Wrynn, Ben Foster campera Medivh tandis que Ben Schnetzer sera Khadgar, Ruth Negga Lady Taria et Paula Patton Garona.
Du côté de La Horde, Toby Kebbell sera Durotan, Rob Kazinsky Orgrim, Clancy Brown Blackhand et Daniel Wu sera lui Gul’Dan.
Voilà, voilà.
Pour rappel, Warcraft : Le Commencement sera une origin story, se penchant notamment sur les premiers contacts entre les Humains et les Orcs, avec les présences assurés de Anduin Lothar le Lion d’Azeroth et de Durotan, l’orc guerrier du Clan Loup-de-Givre.
« Il était important pour nous d’être également empathique envers les héros Orcs et de nous pencher sur pourquoi ils font ce qu’ils font, a expliqué Jones. Il est peu usuel qu’un film de guerre montre honnêtement chaque camp et le fait que nous fassions cela va faire tomber quelques barrières. Vous verrez peu de films avec cette structure narrative. » Duncan Jones.