Affiche pour La Bête de Bertrand Bonello
RDV dans les salles obscures pour le 28 février prochain.
On était de ceux à avoir réellement adorer le dernier long-métrage de Bertrand Bonello, Coma, petit bout de cinéma pessimiste mais pas moins pétri d'espoir pour autant, notamment dans la manière qu'avait le cinéaste de pointer dans son puzzle d'images et d'intentions, la possibilité aux jeunes générations de reconstruire notre monde brisé dans la redéfinition de soi au sein d'un cheminement collectif.
Bonne nouvelle, il n'a pas traîné pour passer la seconde en croquant La Bête, une romance SF avec pour vedette Léa Seydoux et George Mackay, et dont les prises de vues prévues ont alternés les scènes en français et en langue anglaise.
En gestation depuis quelques années, le projet devait avoir le regretté Gaspard Ulliel en lead masculin.
" Dans un futur proche où règne l’intelligence artificielle, les émotions humaines sont devenues une menace. Pour s'en débarrasser, Gabrielle doit purifier son ADN en replongeant dans ses vies antérieures. Elle y retrouve Louis, son grand amour. Mais une peur l'envahit, le pressentiment qu'une catastrophe se prépare. "
Le film est attendu dans les salles obscures pour le 28 février prochain, après une tournée des festivals qui le verra faire un petit coucou à la Mostra de Venise, au TIFF et au NIFF.
On était de ceux à avoir réellement adorer le dernier long-métrage de Bertrand Bonello, Coma, petit bout de cinéma pessimiste mais pas moins pétri d'espoir pour autant, notamment dans la manière qu'avait le cinéaste de pointer dans son puzzle d'images et d'intentions, la possibilité aux jeunes générations de reconstruire notre monde brisé dans la redéfinition de soi au sein d'un cheminement collectif.
Bonne nouvelle, il n'a pas traîné pour passer la seconde en croquant La Bête, une romance SF avec pour vedette Léa Seydoux et George Mackay, et dont les prises de vues prévues ont alternés les scènes en français et en langue anglaise.
En gestation depuis quelques années, le projet devait avoir le regretté Gaspard Ulliel en lead masculin.
" Dans un futur proche où règne l’intelligence artificielle, les émotions humaines sont devenues une menace. Pour s'en débarrasser, Gabrielle doit purifier son ADN en replongeant dans ses vies antérieures. Elle y retrouve Louis, son grand amour. Mais une peur l'envahit, le pressentiment qu'une catastrophe se prépare. "
Le film est attendu dans les salles obscures pour le 28 février prochain, après une tournée des festivals qui le verra faire un petit coucou à la Mostra de Venise, au TIFF et au NIFF.