Rebecca Hall à la réalisation du drame Four Days Like Sunday ?
Un drame familial personnel, pour lequel elle portera également les casquettes de scénariste et de comédienne.
Il y a quelque chose de profondément frustrant à l'idée de se dire qu'une comédienne - et désormais cinéaste - de la trempe de Rebecca Hall, n'attire pas plus que de raison le regard des cinéphiles et autres spectateurs plus où moins avertis, à chacune de ses nouvelles péloches, même si celles-ci n'atteignent pas toujours les salles obscures (et encore moins nos plateformes de streaming).
Forte d'un premier passage derrière la caméra réussi, le magnifique Clair-Obscur, elle est en passe de passer la seconde si l'on l'on suit le site Deadline ce soir, puisqu'elle prépare le drame familial Four Days Like Sunday, inspiré de sa propre histoire et de sa propre relation avec sa mère, pour lequel elle signera le scénario et se mettra également en scène.
Situé dans le milieu des années 1990, le film suit l'histoire de la jeune Jane, 12 ans, alors qu'elle commence à se rebeller contre son rôle de soignante par procuration auprès de sa mère Sylvia (Hall), une diva de Broadway récemment divorcée et dont la carrière est déclinante.
Pendant un long week-end entre deux concerts, Sylvia accueille Benton, Chris et Rahim, trois danseurs de sa tournée actuelle, dans sa grande maison de campagne anachronique, mais y attend également l'arrivée de Dale, son beau jeune petit ami.
Alors que Jane fait de son mieux pour protéger sa mère de tout ce qui peut menacer de perturber son équilibre délicat, elle passe tranquillement du stade de l'enfance à quelque chose de plus sage, de plus libre mais aussi et surtout de plus solitaire...
On a hâte de voir ce que cela donnera, et le mot est faible.
Il y a quelque chose de profondément frustrant à l'idée de se dire qu'une comédienne - et désormais cinéaste - de la trempe de Rebecca Hall, n'attire pas plus que de raison le regard des cinéphiles et autres spectateurs plus où moins avertis, à chacune de ses nouvelles péloches, même si celles-ci n'atteignent pas toujours les salles obscures (et encore moins nos plateformes de streaming).
Forte d'un premier passage derrière la caméra réussi, le magnifique Clair-Obscur, elle est en passe de passer la seconde si l'on l'on suit le site Deadline ce soir, puisqu'elle prépare le drame familial Four Days Like Sunday, inspiré de sa propre histoire et de sa propre relation avec sa mère, pour lequel elle signera le scénario et se mettra également en scène.
Situé dans le milieu des années 1990, le film suit l'histoire de la jeune Jane, 12 ans, alors qu'elle commence à se rebeller contre son rôle de soignante par procuration auprès de sa mère Sylvia (Hall), une diva de Broadway récemment divorcée et dont la carrière est déclinante.
Pendant un long week-end entre deux concerts, Sylvia accueille Benton, Chris et Rahim, trois danseurs de sa tournée actuelle, dans sa grande maison de campagne anachronique, mais y attend également l'arrivée de Dale, son beau jeune petit ami.
Alors que Jane fait de son mieux pour protéger sa mère de tout ce qui peut menacer de perturber son équilibre délicat, elle passe tranquillement du stade de l'enfance à quelque chose de plus sage, de plus libre mais aussi et surtout de plus solitaire...
Quand j'ai écrit ce film, j'ai compris que je ne pouvais pas vraiment faire autre chose avant de réaliser cette histoire. C'est un projet très personnel pour moi et j'espère qu'il exprimera ma sensibilité, mon exubérance et mon ambition de cinéaste. C'est une histoire remplie de comédie, de musique, d'émotion, de couleurs et de la relation nuancée et compliquée entre une mère et son enfant. Il parle de la bulle de réalité que chaque famille crée et des personnes et des événements qui aident un enfant à voir au-delà. J'ai hâte de le sortir de ma tête et de le montrer à l'écran. - Rebecca Hall
On a hâte de voir ce que cela donnera, et le mot est faible.