Affiche UK pour Hellboy : The Crooked Man de Bryan Taylor
Ça sent aussi bon que la dernière incursion de Taylor dans le genre super-héroïque : Ghost Rider : Spirit of Vengeance...
Tout le monde se souvient du ratage fascinant incarné par le Hellboy de Neil Marshall, pur film de fanboy qui rate trop souvent le coche pour pleinement tirer vers le haut un concept cloué au pilori avant même sa sortie (la mort abrupte d'une ultime suite au diptyque de Del Toro).
Inoffensif et techniquement perfectible donc, malgré un vrai esprit de bande bis barrée et férocement régressive, le tout porté par un David Harbour qui semblait gentiment s'éclater dans la peau du héros imaginé par Mike Mignola, réduit pourtant à un statut de Gaston Lagaffe du pauvre à la stature jamais imposante - même s'il tente veinement de rivaliser avec le Darkness de Legend - et au maquillage immonde.
Qu'à cela ne tienne, son cadavre fumant va avoir droit à un nouveau reboot, puisque Millennium Media a dégainé un quatrième film, Hellboy : The Crooked Man, avec un réalisateur bien connu des amateurs de bisseries burnées à sa barre : Bryan Taylor, papa avec son ex-comparse Mark Neveldine du diptyque Hyper Tension (chouette), du foireux Ghost Rider : Spirit of Vengeance (pas chouette) et du script de Jonah Hex (vraiment pas chouette).
Côté casting, c'est Jack Kesy, aperçu dans l'excellente série The Strain, qui campe le nouveau Hellboy.
Le titre du film rappelle évidemment la minisérie éponyme qui catapultait Hellboy quelque part dans les montagnes de Virginie-Occidentale en 1956, alors qu'il faisait la rencontre de Tom, un homme qui, dans sa jeunesse, avait vendu son âme à un démon de l'arrière-pays connu sous le nom de Crooked Man.
Ensemble, ils retourneront dans le cœur sombre des Appalaches pour affronter le démon et voir si l'âme de Tom peut être sauvée...
Wait and see donc, le film, tourné en Bulgarie, débarquera - logiquement - dans les salles obscures avant la fin de l'année.
Tout le monde se souvient du ratage fascinant incarné par le Hellboy de Neil Marshall, pur film de fanboy qui rate trop souvent le coche pour pleinement tirer vers le haut un concept cloué au pilori avant même sa sortie (la mort abrupte d'une ultime suite au diptyque de Del Toro).
Inoffensif et techniquement perfectible donc, malgré un vrai esprit de bande bis barrée et férocement régressive, le tout porté par un David Harbour qui semblait gentiment s'éclater dans la peau du héros imaginé par Mike Mignola, réduit pourtant à un statut de Gaston Lagaffe du pauvre à la stature jamais imposante - même s'il tente veinement de rivaliser avec le Darkness de Legend - et au maquillage immonde.
Qu'à cela ne tienne, son cadavre fumant va avoir droit à un nouveau reboot, puisque Millennium Media a dégainé un quatrième film, Hellboy : The Crooked Man, avec un réalisateur bien connu des amateurs de bisseries burnées à sa barre : Bryan Taylor, papa avec son ex-comparse Mark Neveldine du diptyque Hyper Tension (chouette), du foireux Ghost Rider : Spirit of Vengeance (pas chouette) et du script de Jonah Hex (vraiment pas chouette).
Côté casting, c'est Jack Kesy, aperçu dans l'excellente série The Strain, qui campe le nouveau Hellboy.
Le titre du film rappelle évidemment la minisérie éponyme qui catapultait Hellboy quelque part dans les montagnes de Virginie-Occidentale en 1956, alors qu'il faisait la rencontre de Tom, un homme qui, dans sa jeunesse, avait vendu son âme à un démon de l'arrière-pays connu sous le nom de Crooked Man.
Ensemble, ils retourneront dans le cœur sombre des Appalaches pour affronter le démon et voir si l'âme de Tom peut être sauvée...
Wait and see donc, le film, tourné en Bulgarie, débarquera - logiquement - dans les salles obscures avant la fin de l'année.