Diego Calva au casting de Her Private Hell signé Nicolas Winding Refn ?

Courtesy of Germán Nájera + Iván Flores/Paramount Pictures

Huit ans après The Neon Demon, NWR retrouvera donc les plateaux de cinéma pour un projet dont on ne sait rien, mais qui pourrait bien être celui qu'il a annoncé en septembre dernier, qui devait être tourné à Tokyo et à la fois en langue anglaise et en japonais.


Voilà huit ans maintenant, et le résolument réussi The Neon Demon, que ce bon vieux Nicols Winding Refn fait des infidélités au septième art en privilégiant le petit écran et, plus directement, les plateformes de streaming à travers des shows plus (Too Old to Die Young) où moins mémorables (Copenhaguen Cowboy).
Mais le cinéma lui manque où, tout moins, l'idée de revenir sur le devant de la scène à travers lui.

Bonne nouvelle, il a bien un projet dans sa besace : Her Private Hell, sans pitch mais avec un sacré quatuor vedette, composé par Charles Melton, Sophie Thatcher, Kristine Froseth et Havana Rose Liu en vedette.

Mieux ?

Dougray Scott, Diego Calva, Aoi Yamada, Shioli Kutsuna et Hidetoshi Nishijima seront également de l'aventure si l'on en suit le site Deadline ce soir, alors que les prises de vues auraient déjà débutés.
Produit et distribué par Neon, on se demande désormais si le projet est le même qu'il avait teasé en septembre dernier à la Mostra de Venise, et qu'il annonçait être déjà prêt à être tourné.

C’est une époque vraiment intéressante pour faire des films, car la situation est très chaotique. Donc, revenir en arrière et refaire un long-métrage, c’est presque comme recommencer à zéro, mais avec tous les changements survenus dans nos sociétés au cours des cinq dernières années et les évolutions technologiques, cela me semble presque être la bonne chose à faire. [...] Je pense qu'il m'est difficile d'échapper à mon identité égocentrique dans la création. Je serai donc toujours là. - NWR

Basé sur une histoire originale dont l'intrigue reste encore secrète, le film aura l'intégralité de ses prises de vues à Tokyo, à la fois en langue anglaise et en japonais, le tout avec « beaucoup de paillettes, de sexe et de violence ».
Wait and see donc, mais on sera clairement du rendez-vous.