L'adaptation ciné de Warcraft se paye enfin un casting !

Deadline nous l'avait appris au début de l'été, Sam Raimi - qui avait depuis belle lurette jeté l'éponge -, avait cédé sa place à la direction de l'adaptation ciné du jeu vidéo culte Warcraft (dont le tournage débutera l'année prochaine), au talentueux Duncan Jones, fiston de David Bowie mais surtout jeune pousse à l'avenir prometteur à Hollywood, lui qui s'est fait agréablement connaitre via ses deux hits SF bourrés d'inventivités, Moon et Source Code.

Une bonne nouvelle dans le sens ou plus qu'un bon cinéaste, il est également un hardcore gamer et fan ultime de la franchise.
Reste maintenant à savoir si comme beaucoup de jeunes loups, il se fera bouffer ou non par le système au commande d'une prod archi friquée.

Alors qu'Universal a judicieusement repoussé la sortie du film de décembre 2015 à mars 2016 histoire de ne pas se frotter à Star Wars : Episode VII et dans une moindre mesure, à M:I-5, on se demandait quand même ou en était la production côté casting.

Si Paula Patton, Colin Farrell et Travis Fimmel (la série Vikings) sont toujours fortement pressentis, on apprend aujourd'hui en revanche les signatures acquises du précieux Ben Foster, mais également Toby Kebell et Robert Kazinsky, trois noms qui n'ont pourtant jamais apparus sur la wishlist de Duncan...
L'excellent Dominic Cooper serait actuellement en négociation, une arrivée qui rendrait, évidemment, le tout encore plus ambitieux et alléchant.

Pour rappel, ce Warcraft live sera une origin story, se penchant notamment sur les premiers contacts entre les Humains et les Orcs, avec les présences assurés de Anduin Lothar le Lion d’Azeroth et de Durotan, l’orc guerrier du Clan Loup-de-Givre.
« Il était important pour nous d’être également empathique envers les héros Orcs et de nous pencher sur pourquoi ils font ce qu’ils font, a expliqué Jones. Il est peu usuel qu’un film de guerre montre honnêtement chaque camp et le fait que nous fassions cela va faire tomber quelques barrières. Vous verrez peu de films avec cette structure narrative. » Duncan Jones.

Y'a plus qu'à donc...